Pratiquement soixante ans nous séparent aujourd’hui des courses de carrioles de la cité de Kermélo. Nos carrioles, appelées ailleurs « caisses à savons », n’avaient pas de normes particulières et encore moins d’exigences sécuritaires.
Pratiquement soixante ans nous séparent aujourd’hui des courses de carrioles de la cité de Kermélo. Nos carrioles, appelées ailleurs « caisses à savons », n’avaient pas de normes particulières et encore moins d’exigences sécuritaires.